international work day
about the active role
of cartooning in society
journée internationale
de travail sur le rôle actif
du dessin de presse dans la société
اليوم الدولي
للإشتغال على الدور الفعال
لرسوم الصحف في المجتمع

Visite Maison Victor Hugo 2018 – fr

Visite Maison Victor Hugo 2018 – fr

Si l’histoire de la caricature politique est au moins aussi ancienne que celle de la presse, l’exposition ‘Caricature – Hugo à la Une’ à la Maison de Victor Hugo, en est l’illustration. Présentes durant la journée de travail des EGDP en tant que représentantes d’un lieu de monstration muséologique, Mesdames Florence Claval et Inga Wal-Bezombes, respectivement chargée de communication et responsable du service éducatif de la Maison Victor hugo, ont invité les participants à une visite privée de l’exposition.

Ainsi, les Etats Généraux se sont prolongés le lendemain par une présentation de la collection commentée et guidée par le commissaire de l’exposition, Monsieur Vincent Gille.

Une présentation chronologique de plus de 150 caricatures et dessins satiriques représentant tantôt le poète et personnage romanesque, tantôt l’homme politique adulé ou critiqué, voir honni, pour finir en symbole sacralisé après sa mort. Il était donc unique, avec ces dessins de presse et ces caricatures, expliquées dans leurs contextes politiques, de montrer le long chemin que le dessin d’actualité a déjà parcouru à travers l’histoire, soulignant, s’il le fallait encore, l’importance, la force et l’impact que les dessins peuvent avoir sur la question de la vie politique et les réflexions démocratiques.


Mairie Paris 2018 – fr

Fidèle à ses valeurs, la Mairie de Paris soutient la liberté d’expression et en fait une préoccupation constante.

Ainsi en mars 2017, la Maire de Paris, Madame Anne Hidalgo, inaugure un projet engagé : recouvrir entièrement les murs de la Première Salle du Conseil avec les dessins satiriques de Tignous. La 1ère Salle du Conseil de la Mairie de Paris se nomme dorénavant la ‘Salle Tignous’.

Dans cette continuité, la Mairie de Paris a soutenu la démarche des EGDP. Ainsi le premier adjoint à la Maire de Paris, Serge Orru, avec le conseiller à la culture, Christophe Girard, ont accueilli tous les participants à la journée de travail de la Maison de l’UNESCO, au coeur de la Mairie de Paris,  dans cette salle unique au monde et ont réaffirmé la confiance de la Mairie dans ce projet et ont invité à la reconduction de l’évènement sur ces valeurs communes en assurant d’un soutien actif encore plus important de la Mairie et de ses ressources.


Bilan challenge 2018 – fr

Le format de cette journée de travail a été conçu pour fournir un contexte nouveau et pluriel aux acteurs du monde du dessin de presse. La Maison de l’UNESCO a représenté une opportunité unique de faire exister le sujet du dessin de presse et de le questionner politiquement dans 195 pays simultanément, dans ce haut lieu de représentation diplomatique où chaque pays est chez lui.

Traiter du Dessin de Presse sur le volet de ses problèmes (sécurité, liberté de la presse et d’expression, économie), comme l’ont fait tant de conférences, n’apporte que rarement des pistes de solutions et cristallise des réactions anxiogènes dans certains pays qui s’estiment remis en question dans leur souveraineté. Le parti a donc été pris pour ces Etats Généraux de traiter le Dessin de Presse comme un outil positif déjà actif pour l’amélioration de la société, en invitant les participants à partager les initiatives de terrain concrètes qu’ils ont initiées et qui ont porté leurs fruits ; et les distiller dans des recommandations contextualisées avec les ODD2030.

Pour permettre des échanges dynamiques et fluides, compte tenu du grand nombre de participants, un format de prise de parole d’une minute consécutive a été proposé aux participants, invitant chaque intervenant à préparer avec soin et concision la présentation de leurs solutions.
Les participants ont été répartis en trois groupes actifs, ‘participants auditeurs’, ‘participants tables de travail’ et ‘participants rapporteurs’. Les deux sessions ont été introduites par la présentation de chaque participant à l’ensemble de l’assemblée, puis par un bref mot d’introduction prononcé par le médiateur de chaque table de travail, présentant la thématique de la session et introduisant un moment de networking et d’échanges sur la thématique, permettant à tous de développer leur réseau et de faire remonter, pour les ‘participants auditeurs’, des idées aux ‘participants table de travail’ pour qu’ils les mentionnent durant les échanges une fois de retour en salle.

Durant les séances de travail, les ‘participants rapporteurs’ prennent note des échanges et interviennent pour obtenir des détails, livrant à la fin de chaque session un premier jet de recommandations possibles. Tous les participants sont ensuite invités à envoyer, après l’évènement, les recommandations qu’ils souhaitent faire.

Ces Etats Généraux sont un contexte offert de contacts réels, où il appartient à chacun de valoriser cette occasion pour élargir son réseau, proposer des collaborations à d’autres, initier des projets et mobiliser des forces.


Discours Sofi B 2018 – fr

Les deux séances informelles organisées à Saint-Just, pour préparer et conclure les EGDP de Paris permettent de dresser un constat fort : participer aux Etats Généraux du dessin de presse, c’est prendre conscience que l’on vit quelque chose d’extra-ordinaire ; en un tour de table, découvrir que l’on a une vision à 360° du monde du dessin de presse à travers la présence physique de plus de 20 nationalités, représentatives des cinq continents, représentatives de toutes les nuances qui composent cet univers si particulier. Et ce que nous considérons comme un droit, un acquis, la sacro-sainte liberté d’expression, n’est que chimère voire aberration à quelques centaines de km de l’hexagone.

Contrairement à ce que certains peuvent penser, le dessin de presse n’est pas une arme, il est bien plus que ça : une petite graine que l’on peut mettre à germer dans les esprits volontaires qui la feront pousser sur le moindre espace de liberté à travers le monde.

En 37 ans, le Salon de Saint-Just-le-Martel est devenu capitale mondiale du dessin de presse, capitale du partage, de la liberté. Un lieu unique où l’on affiche ses différences sans peur d’être jugé, un lieu où les pressions des grands de ce monde, qu’ils soient politiques ou religieux, n’ont pas leur place. Extra-ordinaire, c’est peu de le dire. L’organisation des Etats-généraux à la Maison de l’UNESCO, à Paris, pendant et avec des représentants du Salon semble une évidence. Il ne s’agit pas de créer une association de cartoonists de plus, mais bien d’offrir un espace où chacun pourra apporter sa pierre à un édifice collectif dont toute l’ambition est de permettre au dessin de presse de rayonner sur les cinq continents, « en toute liberté ».

 

Sophie Bros
Membre de l’association du Festival International de la Caricature, du Dessin de Presse et d’Humour de Saint-Just-le-Martel
Journaliste


Discours Philippe et Guy 2018 – fr

C’est avant tout une grande histoire d’amitié qui a donné naissance aux Etats Généraux du Dessin de Presse. Une amitié née à Saint-Just-le-Martel, dans le Festival International de la Caricature et du Dessin de Presse, porté par Gérard Vandenbroucke depuis 37 ans avec constance, générosité et fidélité, où sont réunis chaque année plusieurs centaines de dessinateurs venus des quatre coins du monde. Fondé par Gérard Vandenbroucke, alors Maire de Saint-Just, avec ses amis Cabu, Plantu, Loup… entre autres, avec la dérision comme maître mot, la rencontre devint rapidement un rendez-vous majeur au service de la liberté de la presse. En 2006, l’équipe de Saint-Just et Jean Plantu y font naître les premières expositions de ce qui deviendra Cartooning for Peace et se rendent ensemble à l’ONU à New York pour le premier accrochage, avant une tournée internationale.

Aidé de l’Europe et de la Région, en septembre 2011, Saint-Just inaugure le Centre International Permanent de la Caricature, du Dessin de Presse et d’Humour. Un lieu unique de retrouvaille pour le Festival, mais aussi une salle d’expositions pour les rétrospectives et les évènements tout au long de l’année. En 2016, le centre reçoit le bureau de Georges Wolinski, en hommage aux amis enlevés dans les attentats du 7 janvier 2015. Aujourd’hui, le Festival réunit les grands noms internationaux du dessin de presse aux côtés des jeunes dessinateurs et dessinatrices, des caricaturistes et illustrateurs de renoms et des amoureux du dessin satiriques.

Il était évident d’ancrer les Etats Généraux du Dessin de Presse au cœur de cet écrin fédérateur, qui en est le siège. Ainsi, deux grandes réunions de travail ont marqué le festival 2018, avec la volonté de fédérer encore plus de participants et de faire de cette semaine du 3 octobre 2018 un évènement pérenne. Et le succès de ces premiers États Généraux a été clairement rendu possible par la présence dans le comité directeur du Centre Permanent de Saint-Just-Le-Martel, offrant à cet évènement une aura de bienveillance et un fort sentiment fédérateur. Véritable évènement hors les murs du Festival lui donnant un rayonnement politique international, ces Etats Généraux continueront de se dérouler pendant la semaine du Festival de Saint-Just.

 

Philippe Henry et Guy Hennequin
Vice Présidents du Festival International de la Caricature, du Dessin de Presse et d’Humour de Saint-Just-le-Martel


Discours Gérard V 2018 – fr

Comme un exemple de ce que nous défendons, Wolinski était une des figures de proue de la liberté d’expression : il a dessiné dans tous les domaines, il a dessiné sans contraintes, ce qu’il souhaitait dessiner, en dépit des oppositions, en dépit des contestations. Pour cela il est un symbole, un symbole de cette liberté d’expression qui est au cœur de la démarche menée aux États Généraux du Dessin de Presse.

Ces États Généraux ont pour vocation de faire remonter une sorte de cahier des charges, un cahier des doléances communes pour un travail commun : que manque-t-il aujourd’hui au dessin de presse, quels sont les handicaps qu’il rencontre, quels sont les besoins qu’il doit satisfaire et comment faire pour donner à cette expression toute la liberté qui doit être la sienne ? Cette liberté qui, dans le respect des autres évidemment, permet d’encourager la réflexion, de se poser des questions, de comprendre les autres et d’avancer. Cette liberté qui doit aussi permettre à ceux qui vivent du dessin de presse de pratiquer leur métier en sécurité. Et nous sommes ici sur une démarche collective importante, promouvoir le dessin de presse et défendre la liberté d’expression, car l’exercice de cette profession est une position compliquée. On le voit, dans le monde, nombre de dessinateurs sont privés de leur liberté et parfois même de la vie. Ils souffrent dans leurs corps et dans leurs esprits, et cela à cause de leur volonté de dire ce qu’ils ont à dire et de dessiner ce qu’ils ont à dessiner.

Ces États Généraux du Dessin de Presse vont dans ce sens, pour travailler ensemble, à la même cause.
Vive le dessin !

Gérard Vandenbroucke
Membre du Comité Directeur des EGDP
Président d’Honneur du Festival International de la Caricature, du Dessin de Presse et d’Humour de Saint-Just-le-Martel
Président de la Communauté d’Agglomération Limoges Métropole
Premier Vice-Président du Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine


Discours Pinter 2018 – fr

Comprendre un texte, un poème, une œuvre artistique ou graphique, dans son texte, dans sa langue, comprendre la signification cachée des doubles sens, de la symbolique des œuvres quelles qu’elles soient… même si parfois elle nous dépasse, se trouver face à une image et en apréhender le sens, apprendre à comprendre un dessin de presse, un dessin éditorial et d’en évaluer la portée. Tout cela est primordial. Et tout cela n’est bien entendu possible que par l’éducation ! L’Éducation pour acquérir le savoir, pour ne plus subir les tabous et l’obscurantisme, pour apprendre à déjouer les pièges de la manipulation, les fake news et les rumeurs en tous genres, pour jouir de son libre arbitre.

Mais cette éducation, est inaccessible à bon nombre et beaucoup d’éléments culturels peuvent agir comme des freins : la pauvreté, le déterminisme social, le manque d’écoles, les traditions, l’isolement géographique. La difficile transmission du savoir touche aujourd’hui encore un tiers des enfants de la planète. Certains pensent encore en 2018 que la terre est plate. D’autres n’ont jamais lu un roman ou même un livre de leur vie. Et en ce XXIème siècle, nombre de petites filles – ainsi que trop de femmes – sont cantonnées à des activités domestiques leur interdisant l’accès à l’école.

L’expertise des dessinateurs, illustrateurs, éditorialistes, humoristes, caricaturistes et artistes est de pouvoir transmettre en un trait une idée ; une aptitude synthétique à mettre en images des concepts, par delà la barrière des langues et des cultures.

Les Etats Généraux proposent de réunir les acteurs du dessins de presse pour partager leurs solutions mettant à profit cette aptitude unique pour apporter et donner à ceux qui n’en ont pas, les outils de base de la connaissance, l’esprit critique, l’esprit d’analyse et de synthèse afin de leur offrir la liberté, de décider, d’être en désaccord, de choisir, de penser, de vivre.

 

Patrick Pinter
Membre du Comité Directeur 2018 des EGDP
Dessinateur de presse, Illustrateur et Artiste


Discours Terry 2018 – fr

Le succès des États Généraux du Dessin de Presse repose sur l’inclusion, non seulement d’organisations soucieuses du bien-être et des droits des dessinateurs, mais également de celles dont le mandat couvre la presse en particulier et la liberté d’expression plus généralement. Ainsi, notre profession y a été représentée par un large éventail d’associations de dessinateurs nationales et internationales, désireux d’offrir à leurs homologues du vaste monde de la défense des droits de l’homme leur point de vue et partager leurs expériences.

Au cours des séances informelles qui ont précédé chaque table ronde, ces acteurs et dessinateurs ont pu parler librement et directement avec des universitaires, des décideurs, des juristes, des directeurs d’ONG importantes et plusieurs fonds d’archives, musées et écoles entièrement ou partiellement consacrés au dessin de presse.

Les tables de travail ont favorisé des conversations libres et franches, permettant d’aborder de front des questions complexes et des problèmes transverses, avec un grand respect et beaucoup de bienveillance. Les retours immédiats recueillis avant la conclusion de l’évènement ont indiqué que cet aspect des États Généraux était l’un des plus appréciés et des plus positifs. Déjà, de nouvelles relations de travail en collaboration ont été établies et des projets ont été lancés en conséquence directe de la participation à la journée. Tout cela est un rappel que ces Etats Généraux sont ce que ses participants en font.

Le comité directeur veillera à ce que la composition des délégués pour les prochains États Généraux reste pertinente et variée, permettant d’enrichir la réflexion sur le dessin de presse d’autant d’expertises et d’expériences différentes que possible.

 

Terry Anderson
Membre du Comité Directeur des EGDP
Représentant de l’Europe du Nord pour le CRNI
Dessinateur de presse, Graphic Designer


Discours Chloé 2018 – fr

En 2005, le monde du dessin de presse a été bouleversé par la publication des caricatures de Mahomet au Danemark.
Charlie Hebdo a été bien seul lorsqu’il a décidé de les publier et peut être n’aurait-il pas été stigmatisé, peut être, si la totalité des journaux français les avaient aussi publiées solidairement, comme ils auraient dû le faire. Après des années de menaces, il était inimaginable, parce que nous sommes des esprits sains, que les journalistes de Charlie Hebdo seraient directement visés et exécutés dans leurs locaux le 7 janvier 2015. Depuis cette date, le dessin de presse est devenu un symbole mondial. Ils ont été très nombreux à être Charlie parce que les citoyens ont pu s’identifier à eux, parce qu’en les attaquant, les barbares attaquaient une certaine idée de la démocratie et de la liberté.

Après l’assassinat de Tignous et de ses compagnons, il était primordial de publier beaucoup et vite, de montrer au monde que les barbares ne nous feraient pas taire, que nous ne céderions pas à la peur et que nous ne deviendrions pas haineux. Rester debout c’était dans un premier temps lui rendre hommage, une réponse individuelle de femme. Rester debout aujourd’hui, c’est une réponse à la collectivité, un projet de société.

Presque quatre ans après, il y a eu beaucoup de conférences et de débats autour du dessin de presse dont il ne ressort que bien peu de choses. Nous n’avons plus le temps pour cela ! Nous sommes trop peu nombreux pour ne pas avoir un objectif commun. Si rien ne change, ils seront morts pour rien !

Il est temps de se poser la question de la place et l’utilité dans la société du dessin de presse, de son utilisation concrète comme moyen d’expression. C’est notre responsabilité ! Le défi de ces états Généraux du Dessin de Presse, est de donner à voir à l’humanité que l’on peut travailler et vivre ensemble sans être d’accord. Il faut porter ensemble un autre regard sur le dessin de presse, côte à côte, de toutes couleurs, de toutes cultures et de toutes les envies, avec comme seule arme notre humanité !

 

Chloé Verlhac-Tignous
Membre du Comité Directeur des EGDP
Directrice d’édition
Maison d’édition ‘Les Petites Teignes’


Discours Stéfanini – fr

En 1789, l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen commençait par ces mots : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement […] ». Un siècle et demi plus tard, en 1948, ce droit fondamental fut mondialement consacré par l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

C’est par le rappel de ce droit fondamental que j’ouvrais les manifestations, exposition et conférence « La Presse en Liberté » de mars 2017, à l’UNESCO. Il m’apparaît essentiel d’inscrire notre action d’aujourd’hui dans cette continuité et de soutenir tous les efforts menés par Jérôme Liniger et Nicolas Jacquette, les deux directeurs de l’agence Si, pour que se tiennent ces premiers États Généraux du Dessin de Presse, en 2018.

La défense de la liberté de la presse et de la sécurité des journalistes est l’un des volets les plus actuels et les plus sensibles du mandat de l’UNESCO. Ce droit fondamental est au cœur de notre système démocratique, de notre culture et de nos valeurs. Notre monde repose sur l’échange et la communication libres, y compris par les moyens les plus contemporains de diffusion de l’information, des idées et des points de vue. L’une des facettes de la liberté d’expression, peut-être la plus importante, est celle du dessin de presse et de la caricature.

Voilà pourquoi la Délégation Française soutient toutes les initiatives liées à ces sujets. En ce sens, je remercie les participants de nous avoir fait confiance et d’être venus des quatre coins du monde, pour échanger de manière libre et franche et avec tant de force et de conviction. Il est primordial que nous puissions travailler ensemble sur ces questions : qu’est-il possible de faire ? Par quels biais peut-on agir principalement ? Car en rappelant les grands principes et en évoquant les situations individuelles, il s’agit avant tout d’œuvrer à comprendre comment la liberté du dessin de presse peut être mieux assurée, leurs auteurs mieux protégés, comment l’UNESCO, système intergouvernemental des Nations Unies, peut nous aider dans cette tâche.

 

S. Exc. M. Laurent Stéfanini 
Ambassadeur
Délégué Permanent de la France auprès de l’UNESCO